• Ta dureté apparente

    Ta douceur transparente

    Ta poésie qui surgit de ton cœur endurcit

    La carapace qu'il faut percer à coup de toc et de piolet

    Mon air émerveillé quand enfin tu me parles de toi et que je te rétorque que tu aimes parler de toi

    et que tu te refermes et que je te retiens et que je ne parles plus de moi et que tu t'ouvres et que tu deviens tendre

    comme une fleur comme une saveur qu'on a envie de prendre dans sa bouche dans ses bras    

    comme j'ai envie de te prendre dans mes bras dans ma bouche et de nous laisser aller                sur le banc en hauteur et vers l'horizon

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    1 commentaire
  •  


    1 commentaire
  • Les chemins que l'on prend.

    Boutonniette, j'aimerais te revoir sur ce chemin

    même si dément sied à décidément et à dame ment.

    Qui sait qui sied à qui et qui est dans le cœur de qui.


    votre commentaire
  •  

     


    votre commentaire
  • L'inquiétude des RG, un an après les émeutes CHRISTOPHE CORNEVIN ET JEAN-MARC LECLERC. Publié le 23 octobre 2006 dans le Figaro

    Le ministère de l'Intérieur se prépare à gérer la période délicate du premier anniversaire des événements de l'automne 2005 dans un climat difficile en banlieue. Des consignes détaillées ont été envoyées aux préfets pour prévenir d'éventuels débordements.


    C'EST le 27 octobre de tous les dangers. Il y a un an, deux jeunes mouraient électrocutés dans un transformateur après une course-poursuite avec la police, à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. L'affaire fut à l'origine de trois semaines d'émeutes. Une guérilla urbaine généralisée qui obligea l'État à recourir au couvre-feu pour rétablir l'ordre, comme lors de la guerre d'Algérie. Ce scénario catastrophe, les autorités veulent croire qu'il ne se reproduira pas. « Il n'y a pas, à ce jour, de signes avant-coureurs d'une nouvelle émeute », assure ainsi Nicolas Sarkozy.

     Les Renseignements généraux pointent la responsabilité des médias.
     « Un an après les émeutes de novembre 2005, (...) une rumeur persistante semble indiquer que les journalistes arpentent les banlieues aux fins de collecter des informations sur l'état des quartiers aujourd'hui, contribuant par la même d'attiser les tensions », notent sévèrement les RG dans leur rapport


    votre commentaire